Le laboratoire Boehringer Ingelheim lance « La BPCO et moi », première page Facebook à destination des personnes atteintes de BPCO et de leur entourage. Présentation.
La Broncho-Pneumopathie Chronique Obstructive touche 210 millions de personnes à travers le monde, et devrait devenir la troisième cause de mortalité d’ici 2030. En France, 3,5 millions de personnes souffriraient de BPCO. Cette maladie progressive réduit la capacité respiratoire et affecte les activités quotidiennes.
Pour accompagner les patients atteints de BPCO, le laboratoire Boehringer Ingelheim met à disposition le site web BPCO.org pour délivrer de l’information de qualité, validé par un comité scientifique et répondre au besoin d’information des patients. Le laboratoire enrichi son écosystème digital avec le lancement de la page Facebook « La BPCO et moi ».
L’objectif du laboratoire est de proposer un espace d’échange pour les patients. « Nous avons constaté que les patients ressentent le besoin de partager des informations avec leur entourage via ce réseau social, et pourtant, il n’existe aucun outil directement lié à la BPCO sur Facebook », analyse Anne-Rachel Unger, Responsable Communication chez Boehringer Ingelheim France. « La limitation de l’inactivité fait que la BPCO peut être mal perçue par l’entourage : nous souhaitons au travers de cette page Facebook motiver et entraîner les patients dans une dynamique positive autour de leur maladie. Leur redonner l’envie de rester actifs », indique-t-elle. Et de détailler : « Il y aura une tonalité positive, de l’information, des témoignages, des campagnes encourageant à la reprise et/ou la poursuite d’une activité physique adaptée, des conseils pour gérer le quotidien. »
« Il est important que les patients soient informés que des solutions existent, en terme de prévention et de prise en charge. Facebook est un bon moyen pour partager ces renseignements cruciaux », précise Michel Vicaire, Président de la FFAAIR. « Nous sommes heureux de pouvoir nous associer à un tel projet ! »
« Facebook apparaît de plus en plus comme un outil utile pour les patients », indique David Réguer, spécialiste du marketing digital et fondateur de l’agence RCA Factory, avant de préciser : « Les réseaux sociaux modifient le rapport des patients et leur maladie. Les formes d’expression et de mobilisation évoluent, Facebook permet par exemple de trouver de nouveaux espaces d’échanges, d’expériences et le partage de connaissance ». C’est d’ailleurs ce que confirme une enquête Vidal France, qui indique que 85 % des médecins généralistes et 83 % des médecins spécialistes pensent que les échanges et les informations partagés sur les réseaux sociaux sont efficaces.
Boehringer Ingelheim n’en ai pas à son coup d’essai sur les réseaux sociaux comme l’indique Anne-Rachel Unger : « Avec notre page Au coeur de l’AVC (plus de 58 000 fans), nous avons l’expérience de ce que les réseaux sociaux apportent aux personnes victimes ou souffrants d’une maladie et à leur proches : un espace de communication entre patients, du soutien dans le quotidien. Notre volonté est de leur apporter ce même soutien en matière de BPCO ».
Source : Boehringer Ingelheim