Vital eCode : bijoux connectés pour sauver des vies

Pour améliorer le travail des secours et permettre de sauver des vies, un bijou connecté a été lancé : Vital eCode. Découverte.

Nombreux sont les Français qui prennent des risques dans leur vie quotidienne, qu’ils soient seniors, motards, cyclistes, joggeurs… De nombreuses complications pourraient alors être évitées si ces personnes avaient en leur possession un moyen rapide de transmettre leurs antécédents de santé, ainsi que leur identité. Les dispositifs existants d’alarmes de téléassistance ne s’adressent actuellement qu’aux personnes âgées et ne sont qu’un téléphone simplifié. Il n’y a par exemple aucun accès à des données sur la santé du patient ou sur ses antécédents.

Pour répondre à cette problématique, Riyad Bouakour, ancien cycliste de haut niveau et jeune entrepreneur, a lancé Vital eCode, des bracelets et des pendentifs connectés, directement reliés à leur propre fiche médiale d’urgence. “Avec Vital eCode, j’ai voulu améliorer le travail des équipes de secours et augmenter significativement la qualité des prises en charge d’urgence. Un simple objet pour sauver des vies” souligne t-il.

Commercialisés depuis quelques mois, ces produits de santé connectés permettent à chaque individu de renseigner leurs antécédents de santé sur la plate-forme Vital eCode. “En tant que motard et ancien cycliste de haut niveau, je me suis souvent retrouvé dans des situations dangereuses. C’est tout simplement au guidon de ma moto que m’est venue l’idée de développer une solution qui transmettrait mes informations d’identité et de santé de façon rapide et sécurisée aux secouristes en cas de problème” indique Riyad Bouak.

Chaque bijou Vital eCode est doté d’un numéro d’identification unique appelé eCode. Il permet d’accéder à la fiche médicale directement depuis son Smartphone, grâce à un QR code. Pour les secouristes ne bénéficiant pas de Smartphone ou tout simplement de réseau 3G, l’accès aux informations peut se faire via la centrale d’appels Vital eCode. Toutes ces données permettent aux secours, en cas d’intervention, d’identifier au plus vite la victime et d’obtenir ses informations vitales préalablement enregistrées : identité, groupe sanguin, maladies, allergies, traitements, les numéros des proches, position sur le don d’organes…

Accessible 24h/24 et 7j/7, la fiche d’urgence Vital eCode permet de sauver des vies en cas d’urgence. “Toutes les données recueillies via notre site internet sont anonymées, cryptées et stockées sur un hébergeur basé en France, agréé par le Ministère de la Santé” précise le fondateur de Vital eCode.

Les produits santé connectés Vital eCode se présentent sous forme de bracelets ou de pendentifs. L’étoile de vie (symbole universel de l’urgence) est présente tout autour du bracelet et sur le pendentif. Facilement reconnaissable par tout membre du corps médical, sa présence indique que le bijou permet d’accéder aux données de santé de la personne qui le porte :

  • Le bracelet : 100% en silicone et entièrement waterproof, ce bracelet est facilement reconnaissable par les secouristes grâce à ses associations bicolores : noir/bleu, noir/gris, noir/rose et blanc/gris. Le numéro eCode est imprimé à l’intérieur et simplement recouvert d’une couche de silicone transparent, de façon à ne jamais s’effacer.
  • Le pendentif : 100% en aluminium, il est vendu avec sa chaine de 70 cm. Recouvert d’une couche de vernis pour résister à l’eau, il se décline en trois coloris (bleu, rouge ou noir). Le numéro eCode, essentiel pour accéder à la fiche du patient, est imprimé sur le verso. Il est lui aussi totalement indélébile.

Différents modèles et coloris sont disponibles sur le site internet Vital eCode au prix unique de 19,90€. Aucun abonnement mensuel n’est requis. L’achat seul d’un bijou Vital eCode garantit un accès illimité à son profil et la mise à jour de ses informations.

Source : Vital eCode

Articles Similaires

Média : le podcast natif de plus en plus plébiscité par les Français

ErgoSanté lance un nouvel exosquelette dédié au secteur de la santé

Chronique : Plongée dans le monde des organoïdes