Feuille de route du numérique en santé : un premier bilan

Fin décembre, l’Agence du Numérique en Santé (ex Asip Santé) a publié un premier bilan des chantiers du volet numérique du plan Ma Santé 2022. Découverte.

Le 25 avril dernier, la ministre des Solidarités et de la Santé, Agnès Buzyn, accompagnée de Cédric O, secrétaire d’Etat chargé du Numérique et de l’ensemble des acteurs de la e-santé présentait la feuille de route du numérique en santé. Depuis, les chantiers sur les cinq grandes orientations de la politique du numérique en santé dans le cadre de la stratégie Ma santé 2022 ont bien avancé.

Un premier bilan des actions menées a été présenté fin décembre pour faire un état des lieux de la feuille de route du numérique en santé et de ses 5 grandes orientations.

La 1ère orientation est celle qui a le plus avancée et qui concerne le renforcement de la gouvernance du numérique en santé. Conformément aux engagements pris, un certain nombre d’actions ont été réalisées :

  • Création de la Délégation ministérielle du numérique en santé (DNS) qui pilote la feuille de route du numérique en santé , coordonne les acteurs, effectue les arbitrages sur la doctrine technique, pilote la mise en œuvre de la feuille de route au niveau national et région. DNS dirigée par Dominique Pon, Responsable ministériel du numérique en santé et Laura Létourneau, Déléguée ministérielle du numérique en santé
  • Transformation de l’ASIP Santé en Agence du numérique en santé (ANS) et nomination du Dr Jacques Lucas à sa tête
  • Lancement du Conseil du numérique en santé avec 4 groupes de travail pilotés par des experts de l’écosystème : Formation au numérique en santé, Fracture numérique & e-santé, Évaluation des bénéfices de la e-santé, Développement économique en France et à l’international des entreprises françaises (en lien avec les travaux du Comité Stratégique de Filière
  • Création de la Cellule éthique du numérique en santé, pilotée par des experts de l’écosystème
  • Mise en concertation de la «Doctrine technique du Numérique en Santé en France» avec un schéma d’urbanisation cible et les arbitrages associés (positionnement du DMP par rapport à l’ENS et aux outils de coordination, urbanisation de la télésanté, interdiction de centralisation de l’INS pour rediffusion par les plateformes régionales…)

Source : Agence du Numérique en Santé

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