Accueil A la une Déclic A.C.O. : nouveau jeu d’éducation thérapeutique

Déclic A.C.O. : nouveau jeu d’éducation thérapeutique

par Rémy Teston

Le laboratoire Bayer, en partenariat avec l’Institut Curie, lance un nouveau jeu d’éducation thérapeutique en oncologie pour accompagner patients, aidants et professionnels de santé : Déclic A.C.O. Présentation.

Engagé en oncologie, le laboratoire Bayer complète la gamme d’outils et services déjà existants et mis à la disposition des patients, des aidants et des professionnels de santé avec le lancement d’un jeu d’éducation thérapeutique: Déclic A.C.O. (anti-cancéreux oral).

Réalisé avec l’expérience de l’équipe infirmière en charge des thérapies ciblées de l’institut Curie, ce jeu est destiné aux patients atteints de cancer sous traitement anti-cancéreux oral. Les infirmières, qui proposaient déjà ce jeu aux patients de l’institut Curie ont collaboré avec Bayer pour établir un jeu distribuable à d’autres établissements. Il apporte une réponse concrète aux besoins et attentes formulés à la fois par les patients et les professionnels de santé.

Ce jeu a pour objectif d’aider les patients à :

  • mieux vivre avec leur traitement dans la vie quotidienne et à domicile,
  • identifier et prévenir les possibles effets secondaires,
  • savoir comment réagir en cas de survenue d’un effet indésirable,
  • leur permettre de devenir pleinement acteur de leur traitement et de sa gestion lorsqu’il est de retour à son domicile.

Les objectifs pour les professionnels de santé sont de :

  • disposer d’une information complète et de qualité leur permettant de lancer la discussion avec leurs patients,
  • d’accompagner leurs patients à l’aide de questions ouvertes relatives à la gestion de leur maladie.

Comme le souligne Madame Claire Llambrich, infirmière à l’Institut Curie : « Ce jeu reconnecte les patients avec leurs expériences vécues lors de la prise de ces traitements. C’est un outil qui transforme la relation au soignant, obligeant ce dernier à repenser sa posture et ses actions. Il oblige le professionnel à se laisser guider par les priorités du malade et à ne répondre qu’aux seules préoccupations nécessaires. Ainsi, il y a d’une part, un allègement de la tâche et, d’autre part, un enrichissement des pratiques d’auto-soins : tout le monde y gagne. »

Source : Bayer

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